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François de Malherbe
Épurer et discipliner la langue française a été l’œuvre de sa vie. On peut le considérer comme le premier théoricien de l’art classique fait de mesure et bienséance et l’un des réformateurs de la langue française.

 « Enfin, Malherbe vint …. », dira Boileau en hommage en immortalisant le poète de Caen, véritable réformateur de la versification française et premier de tous les grands classiques.

Il fait des études dans sa ville natale, suit les cours de droit des universités de Caen et de Paris et, à l'étranger, de Heidelberg et de Bâle et commence par voyager, surtout en Provence avant de « monter » à Paris en 1605, où ce sec et austère Normand déjà quinquagénaire plaît fort au « vert galant » Henri IV, de deux ans son aîné. Quand il meurt, en 1628, le Grand Siècle des lettres porte la griffe de sa théorie : clarté et lucidité.
Purify and discipline the French language has been his life's work. He can be considered as the first theorist of classical art done with measuring and decency and one of the reformers of the French language.

"Finally, Malherbe came .... " Boileau says in tribute by immortalizing the poet of Caen, a true reformer of French versification and first of all the great classic writers.

He studied in his hometown, follows the course of law from the Universities of Caen and Paris and abroad in Heidelberg and Basel and begins to travel, especially in Provence before "mount" in Paris in 1605, where the dry and austere Norman, already fifty-year-old-man, please very much to the "green gallant" Henry IV, two years his senior. When he died in 1628, the Grand Century for letters is bearing the hallmark of his theory: clarity and lucidity.
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La NORMANDIE
en long, en large et en ....
TIMBRES
Caen, 1555 – Paris, 16 octobre 1628
Y&T 1028 / S-G 1254
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