Charlotte Corday
Marie-Anne-Charlotte de Corday d’Armont, retenue par l'histoire sous le nom de Charlotte Corday est une descendante des frères Corneille par sa mère.
A Caen elle découvre avec indignation que le député jacobin Jean-Paul Marat, dans sa feuille ultra-démagogique « l'Ami du peuple » se félicite des massacres perpétrés par les révolutionnaires. Cet événement refroidit tous les admirateurs de la Révolution parmi lesquels Charlotte Corday.
Sous prétexte de lui communiquer le noms des Girondins siégeant à Caen, elle est reçue par Marat qui travaillait dans son bain. Elle tire alors de son sein le couteau et le plonge, avec une force surnaturelle, jusqu’au manche dans le cœur de Marat.
Jugée et condamnée, elle est guillotinée le 29 Messidor an I.
Marie Anne Charlotte Corday d’Armont, known today as Charlotte Corday, was a descendant of the Corneille brothers through her mother.
At Caen she was indignant to discover that the Jacobin deputy Jean-Paul Marat in his ultra-demagogic sheet "People's Friend" had welcomed the massacres perpetrated by the revolutionaries. This event cooled Charlotte’s support for the Revolution.
On the pretext of providing names of Girondins sitting in Caen, she was received by Marat who worked from his bath. She then pulled a knife from her bosom and plunged it, with supernatural force, to the hilt into the heart of Marat.
Tried and sentenced, she was guillotined on the 29 Messidor, revolutionary year I.
La NORMANDIE
en long, en large et en ....
TIMBRES
Saint-Saturnin-des-Ligneries (près de Vimoutiers), 27 juillet 1768
Paris, 16 juillet 1793
Y&T 927 / S-G 765
Y&T PA 663
Y&T 993 / S-G 1343