Louis Adrian
Ingénieur polytechnicien et intendant militaire français connu pour avoir fait produire le casque Adrian qui équipera les armées françaises, belges, italiennes, serbes, roumaines et russes dans le courant de la Première Guerre mondiale et sera même porté par le roi des Belges.
Au cours de sa carrière militaire, il rejoint la chefferie de Cherbourg et travaille à Granville où il rencontre sa future épouse, Marguerite Pigeon, nièce du chanoine Émile Pigeon, qui les maria en 1889.
De retour à la vie civile, il se retire en 1921 dans sa propriété normande de Genêts. Sa tombe, à Genêts (Manche) est unique : elle est coiffée d’un casque Adrian de granit.
Au cours de sa carrière militaire, il rejoint la chefferie de Cherbourg et travaille à Granville où il rencontre sa future épouse, Marguerite Pigeon, nièce du chanoine Émile Pigeon, qui les maria en 1889.
De retour à la vie civile, il se retire en 1921 dans sa propriété normande de Genêts. Sa tombe, à Genêts (Manche) est unique : elle est coiffée d’un casque Adrian de granit.
Polytechnique (French high school) engineer and steward of the French military, he is famous for producing the Adrian helmet that equipped the French, Belgian, Italian, Serbian, Romanian and Russian armies in the course of the First World War.
During his military career, he was District Engineer for Cherbourg and worked in Granville, where he met his future wife, Marguerite Pigeon, niece of Canon Emile Pigeon, who married them in 1889.
Returning to civilian life, he retired in 1921 in his Norman estate in Genêts. His grave in Genêts is unique: embellished with an Adrian helmet in granite.
During his military career, he was District Engineer for Cherbourg and worked in Granville, where he met his future wife, Marguerite Pigeon, niece of Canon Emile Pigeon, who married them in 1889.
Returning to civilian life, he retired in 1921 in his Norman estate in Genêts. His grave in Genêts is unique: embellished with an Adrian helmet in granite.
La NORMANDIE
en long, en large et en ....
TIMBRES
Metz, 1859 – Paris au Val de Grâce, Août 1933
Y&T 166 / S-G 238
Y&T 165 / S-G 237