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Emile Verhaeren
C’est un poète belge « fransquillon », c'est-à-dire flamand d'expression française.

Quand la Première Guerre mondiale éclata et que, malgré sa neutralité, la Belgique fut occupée par les troupes allemandes, Verhaeren se trouvait en Allemagne et était au sommet de sa gloire. Il écrivit des poèmes pacifistes et lutta contre la folie de la guerre dans les anthologies lyriques.

C’est au terme d’une mission où il s’employait à réunir des fonds pour les mutilés belges qu’il fut écrasé accidentellement en gare de Rouen, ayant été poussé par la foule, nombreuse, sous les roues d'un train qui partait. C'est donc le hasard qui lie son destin à celui de Rouen et de la Normandie.
It is a Belgian poet "fransquillon", that is to say French-speaking Flemish.

When the First World War broke out and, despite its neutrality, Belgium was occupied by German troops, Verhaeren was in Germany and was at the height of his fame. He wrote poems of peace and fought against the madness of war in the lyrical anthologies.

This is after a mission where he was working to raise funds for the disabled Belgian that he was crushed in a railway accident in Rouen, having been pushed by the crowd, in numbers, under the wheels of a train leaving. So its is the chance that links his fate to Rouen and Normandy.
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La NORMANDIE
en long, en large et en ....
TIMBRES
Saint-Amand (Anvers-Belgique), 21 mai 1855 – Rouen, 27 novembre 1916
Y&T 1383 / S-G 1612
Y&T 896 / S-G 1414
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